Lorsque le choix du terrain est réalisé, celui-ci est rarement prêt à être cultivé en l’état… Voici par exemple notre terrain tel qu’il était encore il y a quelques semaines, en friche, un cerisier de 10 mètres de haut en bonne place, des thuyas laissés à l’état sauvage pendant quelques décennies ! Quelque soit votre motivation pour la réalisation d’un potager, il vous faudra un bon moral pour attaquer la préparation du terrain.
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Une fois votre arbre abattu, reste une opération encore plus ardue, son déracinement…
Pour déraciner l’arbre, pas de miracle, il faut dégager ses racines, une opération longue et fastidieuse. Attention aux courbatures ! Pioche, pioche hache, bêche ou louchet… Tous les moyens sont bons pour mettre à nu les racines.
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Une fois la parcelle de votre futur potager choisie, le terrain n’est pas toujours exempt d’arbres… Cela pose deux principaux problèmes pour la culture de vos légumes :
Pas d’autre solution donc que de se débarrasser du ou des arbres de votre parcelle.
Dans le cas de notre futur potager, c’est un cerisier qui occupe le terrain. Vieux de plus de 30 ans, il ne donne plus de fruit, ce qui limite la peine de couper cet arbre.
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Une fois la décision prise de réaliser un potager, la deuxième décision à prendre sera le choix de la parcelle de terre que vous réserverez à vos cultures. Au pied d’une façade ? Plus ou moins ensoleillée ? Quelle orientation privilégier ?
Rémy Didelot, notre spécialiste potager, revient sur les éléments de base dans le choix du terrain.
Pour présenter nos vidéos, nous avons voulu bien faire les choses… D’où l’idée de concevoir un générique « comme à la télé »… Inspiré par l’animation d’un papillon se déplaçant vu de dessus sur de l’herbe, voici donc le générique d’Un Potager Bio :
